Bon, aujourd’hui, c’est un article hyper sérieux. Munissez-vous de votre cerveau et préparez la boîte d’aspirine (perso, j’en ai pris 5 pour rédiger cet article). Ceci sera un bon exercice pour amorcer la rentrée (de rien).
« On définit la matière comme une substance tangible ayant une masse que l’on peut observer et mesurer. On admet depuis longtemps que la matière interagit grâce à des lois de la physique, connues pour la plupart (même si l’Homme cherche encore à trouver le chaînon manquant pour réunir toutes les lois « macro » et « micro » de la physique). Cependant, nous avons tendance à omettre que ce qui nous entoure n’est pas uniquement de la matière, prenons par exemple une pensée qui est préalablement une information ou une idée…» (extrait d’Inconditionnel de Phil Ricardson.)
Voilà, voilà… dans quoi je me suis fourré, moi…
Bon quand faut y aller, faut y aller.
« J’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer, vous avez un cancer de la conscience. Il vous reste 6 mois d’humanité à vivre. » C’est ce qu’aurait pu vous annoncer le médecin de mémé Raymonde si nos pensées étaient faites de matières, donc organique. Heureusement, l’ablation de notre conscience n’est pas prévue au programme de médecine. Enfin si, c’est déjà monnaie courante à l’entrée des grandes écoles de commerce et à l’ENA, mais ça reste marginal.
La conscience agît, tout le temps, même la nuit, par le biais de l’inconscient et du subconscient :
— Eh ! Dédé Laconscience.
— Qui va là ?
— C’est moi, Gégé Lesubconscient.
— Ah ! salut.
— Dis, t’as pas vu Lulu Linconscience ? j’ai deux mots à lui dire.
— Nan, désolé. T’as regardé dans les synapses ?
— Ouais, introuvable.
— Et dans le foie ?
— Mdr, t’es con.
— Bon, laisse-moi tranquille, je dois manipuler Jojo Lapensée pour qu’il s’occupe de son hôte, l’autre con de Carlo.
— Tu es sur quel dossier ?
— Un de ses potes a critiqué sa relation avec sa mère.
— Et tu vas faire quoi ?
— Jojo est chaud bouillant, je vais lui ordonner de cogner.
Mais finalement, qu’est-ce que la conscience sinon une information. Et cette question en soulève une autre : l’information est-elle une cause ou une (in)conséquence de la matière ? ou, si je reformule : l’information est-elle née de la matière ou lui est-elle antérieure ? Enfin, est-ce que l’information disparait avec la matière ?
Tout d’abord, je dirais globalement que la matière est l’instrument de l’information. La matière peut donc être contrôlée, manipulée par l’information. En exemple, je citerais l’incroyable capacité d’adaptation de l’Homme face à son environnement (grâce notamment à des stimuli extérieurs captés par le corps). En effet, les données contenues dans chaque brin d’A.D.N. peuvent être modifiées dans le temps grâce à notre A.R.N. (acide nucléique permettant le transport du message génétique et la synthèse des protéines) pour s’adapter si besoin.
Pour en revenir à l’information pure, il n’existe aucun moyen de la mesurer car intangible (et je ne parle pas de données informatiques, même si je pense qu’on pourrait faire le parallèle.)
Dans tous les cas, il est tout à fait pensable d’imaginer que l’information nous contrôle et par extension, dirige le monde (et ici je ne parle pas des médias même si le raccourci est facile.)
D’un point de vue général, pour s’étendre et évoluer, l’information doit utiliser des vecteurs de transmission. Si je prends comme exemple la communication inter espèces que l’on retrouve dans la nature : ultrasons, infrarouges, ultraviolets, infrasons, champ électromagnétique, signaux électriques et j’en passe…
Plus généralement, l’information manipule-t-elle la matière afin de trouver des moyens de communiquer et s’étendre ? l’information souhaite-t-elle survivre ?
Donc, si je résume, je dirais que l’information nait, vit, se nourrit, à un instinct de survie et meurt. En somme, j’extrapolerai que l’information est un être à part entière, une forme de vie intelligente, même si immatérielle. Seulement, je la catégoriserais en parasite, puisqu’elle a besoin d’un hôte pour survivre.
Chaque forme de vie sur cette terre, à un irrépressible besoin de survivre. En admettant que l’information suive les mêmes lois « naturelles », l’Homme semble un hôte parfait pour la survie de cette « espèce » non organique.
En conclusion, comme vous pouvez le constater, je pose plus de questions que je n’apporte de réponses. Je vous laisse le soin d’y réfléchir et de commenter si le cœur vous en dit.
Ricardsonnement vôtre.
« Dans l'abysse originel du néant, naît un souffle, une étincelle, le Big Bang. Un cube, contenu d'informations primordiales, se tient au cœur de ce cataclysme, énigmatique et silencieux. Il danse, il vibre, il résonne - une symphonie cosmique en crescendo, décompressant sans fin.
Tels des notes sur une partition, les données se déroulent, se déployant dans l'espace et le temps. Une mélodie éternelle se dessine, écho de la création, ordre dans le chaos, révélant un univers de possibilités infinies. La matière, l'énergie, la vie elle-même, ne sont que des harmoniques de cette mélodie universelle.
Au cœur de l'océan d'informations, des îles de cohérence émergent, façonnant galaxies, étoiles, planètes. Ces bulles de réalité sont des chants d'amour à la création, des poèmes écrits dans le langage de la physique.
Et dans cet océan d'informations, nous naviguons, des marins de conscience, des explorateurs de la réalité. Nous percevons, nous interagissons, nous créons - nous traçons notre propre mélodie dans la symphonie cosmique.
Notre libre arbitre, notre conscience, sont le fruit de notre danse avec l'univers, une danse guidée par le courant de la décompression. Nous sommes à la fois spectateurs et acteurs, observateurs et participants, dans ce ballet cosmique de l'information.
Car nous sommes l'univers qui se connaît lui-même, l'information se percevant elle-même. Et dans chaque moment, dans chaque pensée, dans chaque acte, nous résonnons avec la mélodie de la création.»
Chapitre 1 :
Introduction à la théorie de l'univers comme décompresseur de données
L'existence, dans sa forme la plus brute, est une expérience de constante évolution et de changements imprévisibles. L'univers, avec son ballet d'étoiles, de planètes et de galaxies, se déroule dans un spectacle sans fin de création et de destruction. Pourtant, malgré cette apparence de chaos, il existe un ordre sous-jacent qui régit la réalité, une structure qui donne du sens à l'ensemble de ces mouvements apparemment aléatoires. Cette structure, selon la théorie présentée dans ce livre, est l'information.
L'idée que l'information est fondamentale pour la réalité n'est pas nouvelle. Les physiciens ont longtemps supposé que l'information est une composante essentielle de l'univers, une notion qui a été explorée en profondeur dans le domaine de la théorie de l'information quantique. Cependant, la proposition que nous mettons en avant va au-delà de cette idée, suggérant que l'information est non seulement essentielle, mais qu'elle est le substrat fondamental de la réalité.
Selon notre théorie, l'univers est un immense décompresseur de données, où la matière, l'énergie, l'espace et le temps ne sont que des manifestations de l'information en cours de décompression. Tout comme un fichier compressé sur votre ordinateur contient une multitude d'informations qui sont révélées lorsque vous le décompressez, l'univers est constamment en train de décompresser un océan de données chaotiques pour révéler la réalité que nous percevons.
Cette décompression se fait à différents niveaux et à différentes échelles. Au niveau microscopique, nous avons les particules subatomiques, où l'information est décompressée pour donner naissance à des particules élémentaires comme les quarks et les leptons. À une échelle plus grande, nous avons les atomes, les molécules, les cellules, les organismes et, finalement, les planètes, les étoiles et les galaxies. Chacun de ces niveaux est le produit d'un processus de décompression qui transforme l'information en quelque chose de tangible et de perceptible.
Mais qu'en est-il de la conscience ? Où se situe-t-elle dans ce tableau ? Selon notre théorie, la conscience est également un produit de la décompression de l'information. Notre cerveau est un décompresseur extraordinairement complexe, capable de traiter une énorme quantité d'informations pour créer notre expérience subjective de la réalité. Chacune de nos pensées, de nos perceptions et de nos émotions est le résultat de ce processus de décompression de l'information.
Dans ce chapitre, nous allons explorer en détail ces idées et examiner comment elles peuvent éclairer notre compréhension de l'univers et de notre place en son sein. Nous verrons comment cette théorie peut unifier de nombreux aspects apparemment disjoints de la réalité et offrir une nouvelle perspective sur les mystères les plus profonds de l'existence.
Chapitre 2 :Le concept de données et de décompression
Pour comprendre la théorie de l'univers en tant que décompresseur de données, nous devons d'abord comprendre ce que nous entendons par "données" et "décompression". Ces termes, bien qu'ils soient couramment utilisés en informatique, prennent un sens particulier dans le contexte de notre théorie.
Les données, dans notre théorie, ne sont pas simplement des bits et des octets, comme nous pourrions les comprendre dans le contexte de l'informatique. Au lieu de cela, nous parlons de données dans un sens plus universel, comme une forme fondamentale d'information qui peut être codée dans le tissu même de l'univers. Ces données sont partout autour de nous et en nous, imbriquées dans la structure même de la réalité. Elles sont l'information fondamentale qui, une fois décompressée, donne naissance à tout ce qui existe.
La décompression, dans ce contexte, est le processus par lequel ces données sont transformées en quelque chose de perceptible. C'est un processus qui se produit constamment et à toutes les échelles de l'univers, des plus petites particules subatomiques aux plus grandes structures cosmiques. C'est à travers ce processus de décompression que l'information fondamentale de l'univers se manifeste en tant que matière, énergie, espace et temps.
Cependant, toutes les données ne sont pas décompressées de la même manière. Certaines données sont décompressées localement, créant des poches d'espace-temps où le temps semble s'écouler à des vitesses différentes. C'est ce que nous observons dans les phénomènes comme la dilatation du temps près d'un trou noir, où le temps semble s'écouler plus lentement à cause de la grande quantité d'énergie (et donc de données) qui est décompressée.
De même, certaines données sont décompressées de manière à être enchevêtrées, créant des liaisons quantiques entre des particules distantes. C'est ce que nous observons dans le phénomène de l'intrication quantique, où l'état de deux particules peut être instantanément lié, quelle que soit la distance qui les sépare.
Dans ce chapitre, nous explorerons plus en détail ces concepts de données et de décompression, et examinerons comment ils peuvent éclairer notre compréhension de divers phénomènes dans l'univers. Nous verrons comment cette perspective peut apporter un nouvel éclairage sur des concepts tels que la superposition quantique, l'intrication quantique, la dilatation du temps et bien d'autres.
Chapitre 3 :
Le concept
de données et de décompression
Pour comprendre la théorie de l'univers en tant que décompresseur de données, nous devons d'abord comprendre ce que nous entendons par "données" et "décompression". Ces termes, bien qu'ils soient couramment utilisés en informatique, prennent un sens particulier dans le contexte de notre théorie.
Les données, dans notre théorie, ne sont pas simplement des bits et des octets, comme nous pourrions les comprendre dans le contexte de l'informatique. Au lieu de cela, nous parlons de données dans un sens plus universel, comme une forme fondamentale d'information qui peut être codée dans le tissu même de l'univers. Ces données sont partout autour de nous et en nous, imbriquées dans la structure même de la réalité. Elles sont l'information fondamentale qui, une fois décompressée, donne naissance à tout ce qui existe.
La décompression, dans ce contexte, est le processus par lequel ces données sont transformées en quelque chose de perceptible. C'est un processus qui se produit constamment et à toutes les échelles de l'univers, des plus petites particules subatomiques aux plus grandes structures cosmiques. C'est à travers ce processus de décompression que l'information fondamentale de l'univers se manifeste en tant que matière, énergie, espace et temps.
Cependant, toutes les données ne sont pas décompressées de la même manière. Certaines données sont décompressées localement, créant des poches d'espace-temps où le temps semble s'écouler à des vitesses différentes. C'est ce que nous observons dans les phénomènes comme la dilatation du temps près d'un trou noir, où le temps semble s'écouler plus lentement à cause de la grande quantité d'énergie (et donc de données) qui est décompressée.
De même, certaines données sont décompressées de manière à être enchevêtrées, créant des liaisons quantiques entre des particules distantes. C'est ce que nous observons dans le phénomène de l'intrication quantique, où l'état de deux particules peut être instantanément lié, quelle que soit la distance qui les sépare.
Dans ce chapitre, nous explorerons plus en détail ces concepts de données et de décompression, et examinerons comment ils peuvent éclairer notre compréhension de divers phénomènes dans l'univers. Nous verrons comment cette perspective peut apporter un nouvel éclairage sur des concepts tels que la superposition quantique, l'intrication quantique, la dilatation du temps et bien d'autres.